Dernière mise à jour le 07-03-2023 à 19:54 pm - Temps de lecture estimé 00:03:29
Bien que le village ait été petit, quelque peu désorientée par la nuit, je n’avais d’autre choix que de rebrousser chemin pour rentrer par là où nous étions venues. à cette heure tardive, les rues s’étaient vidées pourtant, c’est sous les regards tantôt surpris, parfois amusés des quelques passants que nous croisions que je me dirigeais avec angoisse vers la petite place ou nous avions dîné. Là, attablés aux terrasses des cafés, quelques petits groupes se restauraient encore, buvaient ou dansaient parfois au son des SoundSystems.
Mon entrée au milieu de cette foule fut étonnamment discrète, mais en quelques instants la situation bascula et bientôt je fus le centre de toutes les attentions. Un petit attroupement se forma rapidement autour de moi tandis que j’avançais toujours alors que les flashs des Smartphones crépitaient maintenant de toute part. Perdue dans cette multitude j’allais bientôt être submergée pourtant, loin de devoir me battre pour me frayer un chemin, je découvris rapidement qu’un simple sourire pouvait désarmer les plus braves quand je sentais parfois des mains aventureuses se promener sur moi.
Portée par le nombre, j’esquissais même quelques pas de Macarena sous le regard hilaire de mon hôtesse. Mais, bientôt alertée par des flashes bleutés qui semblaient vouloir se rapprocher de la place, c’est avec une incroyable fermeté qu’elle me prit la main et que nous nous sommes dérobées dans le dédale des petites rues attenantes.
Jamais je n’aurais pensé pouvoir un jour me livrer à une telle exhibition. Pourtant, maintenant que nous remontions paisiblement le chemin de terre vers la maison, bien que je sois toujours perturbée par ce que je venais de vivre, j’éprouvais presque de la fierté d’avoir eu ce courage de repousser ainsi mes limites. Aussi, encore troublée par mon incroyable performance, je reprenais lentement mes esprits quand, toujours vibrante d’un plaisir indescriptible, elle m’enserra à la taille alors que nous venions à peine de rentrer sous le patio. D’une main aventureuse, elle ne tarda pas à découvrir combien mes tétons durcis s’étaient dressés sur ma poitrine et tandis qu’elle me retenait, je sentais la chaleur de son autre main qui, posée sur mon pubis glabre, explorait doucement les replis humides de mon intimité.
— Tu as un incroyable potentiel. Je t’en félicite, c’était époustouflant. Tu m’as réellement charmée ce soir.
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