Dernière mise à jour le 07-03-2023 à 19:54 pm - Temps de lecture estimé 00:03:39
A la fin de la journée, je me sentais comme épuisée tant elle avait été nerveusement éprouvante pour moi. Aussi, c’est presque naturellement que je me douchais dans le jardin près de la piscine maintenant que la salle de bains m’était inaccessible.
Bien que toute intimité me soit désormais refusée, je restais pourtant là à me détendre sous l’eau chaude tandis que je pouvais la voir s’affairer sous le patio. Mais c’était sans espoir et ma tension de tarda pas à grimper d’un cran lorsqu’elle m’interpella.
Elle se délectait de ma gêne car bien que le réservoir de la douche solaire ait été vide depuis bien longtemps je tentais toujours désespérément de me recomposer sous l’eau fraîche qui coulait à présent. Transie, je la rejoignis bien vite sous la pergola mais au lieu de me sécher, c’est sur le drap de bains qu’elle venait de disposer sur la table basse qu’elle m’invita à m’allonger.
Je compris aussitôt le sens de ses premières paroles de la matinée quand elle voulait me faire profiter de l’occasion unique d’obtenir un bronzage intégral.
Elle s’amusait déjà de mon trouble alors que les mains sur mes chevilles, je m’efforçais de lui exposer au mieux les secrets de mon intimité qu’elle maculait avec malice de mousse savonneuse, mais mon sang se mit à bouillir lorsqu’elle me présenta finalement le couteau de barbier qu’elle avait préparé.
Tétanisée, comme dans une brume extatique je la laissais impuissante, s’affairer entre mes cuisses. Elle m’arracha un râle de surprise lorsque ses mains couvertes de savon effleurèrent une première fois mes nymphes. Mais ce fut bientôt pire encore, tandis que c’est avec angoisse que je voyais la lame de son rasoir glisser sur ma peau, me déposséder de ma pilosité. Elle s’amusait de mon regard perdu alors que sans même m’y opposer je me contorsionnait pour pouvoir encore mieux offrir mon intimité aux affres de cette lame tant je craignais qu’elle ne me blesse.
Perdue, désabusée je sombrais peu à peu et malgré ma gêne, je finis par me détendre un peu tandis qu’elle s’affairait toujours à effacer les dernières traces de chaume sur mon pubis. Mes yeux s’étaient embrumés et les paumes des mains contre mon visage, je peinais à contenir mes émotions tandis qu’après m’avoir rincée, je sentais ses doigts masser mon arête sensible d’un baume apaisant.
— Tu étais déjà belle, je viens de te rendre superbe. Qu’en dis-tu ?
Avant de quitter ce site