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Et tandis que sa dominatrice la ramenait pour son final au centre de la petite scène, Clémence eut le temps d’apprécier combien elle était vulnérable ainsi ligotée.
— Une trentaine de caresses de ceci te ramèneront sur terre ma belle, lui adressa la brune amazone alors qu’elle se munissait du chat à neuf queues qui était à sa ceinture.
— Mets-toi en position pour recevoir ton dû !
À sa grande surprise, sans même esquisser le moindre geste de défense, Clémence lui obéit. Seules au milieu de la piste de danse, à l’aide manche de son martinet et par petites touches, sa maîtresse la pressait tantôt d’écarter toujours plus les cuisses, tantôt à bomber le torse, faisant frétiller à chaque fois ses petits seins accentuant par là même la cambrure de ses reins et sans même tenter de s’y opposer, Clémence s’exécutait.
Finalement, satisfaite de la position qu’elle avait prise, la maîtresse fit alors lentement glisser les lanières de cuir contre ses formes, s’attardant parfois sur ses tétons dressés, ou dans le vallon de son entrejambes. Clémence frissonnait d’appréhension maintenant mais, comme tétanisée, n’osait opposer la moindre résistance. Un premier coup sur son postérieur la fit tressaillir, et elle lâcha aussitôt un petit cri. Les premières morsures du cuir sur ses cuisses furent peu appuyées, puis petit à petit, à mesure que le cuir s’abattait sur elle avec plus de vigueur, elle sentit la chaleur gagner ses fesses tendues d’appréhension. Clémence était interloquée, comme étonnée de découvrir que la douleur provoquée par les lanières contre sa peau fasse aussi naître en elle une nouvelle forme d’excitation qui lui était inconnue jusqu’alors. Quand les zébrures atteignirent son dos, elle était à nouveau en transe et seul cet étrange plaisir lui importait désormais. Au bout d’une vingtaine de coups, sa maîtresse se concentra alors sur ses petits seins. Ses tétons pourtant rigides d’excitation s’écrasaient sous les coups qui les marquaient et la faisaient râler à chaque fois. Une dernière salve fut finalement concentrée sur son pubis.
La dominatrice, qui comprenait que, malgré la douleur Clémence en retirait aussi certainement un plaisir qu’elle ne pouvait dissimuler, s’interrompît un instant pour lui chuchoter quelques mots au creux de l’oreille sur un ton sarcastique.
— Je peux m’arrêter si tu le désires, à moins que tu n’aimes cela finalement.
Dans un râle de plaisir, brûlante d’un désir non dissimulé, Clémence s’abandonna alors totalement.
— Mon corps est à vous Madame, faites de moi ce que vous voudrez.
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