Dernière mise à jour le 15-03-2022 à 21:12 pm - Temps de lecture estimé 00:03:43
Jamais encore elle n’aurait osée se masturber ainsi, mais cette incroyable demande claquait déjà comme un ordre pour elle. Elle ne pouvait se l’expliquer mais les désirs de cet homme semblaient pénétrer toujours plus son inconscient, et à chaque nouvelle demande, ils s’imprimaient en elle de manière indélébile, comme une marque au fer rouge.
Jamais de sa vie elle ne s’était dégradée ainsi, pourtant jamais non plus elle ne s’était aussi sentie femme alors qu’explorant la toute nouvelle douceur de son mont de Vénus elle en avait redécouvert les trésors. L’intense satisfaction qu’elle tirait de s’être totalement livrée à lui dans cette danse lubrique la faisait toujours bourdonner et tandis que tout son sexe brûlant de désir n’attendait plus que son attention, elle ne tarda pas goûter aux délices de la volupté alors qu’un puissant orgasme la ravagea, la laissant un instant au bord de l’évanouissement.
Soudain, l’homme s’emporta, la tirant aussitôt de l’agréable torpeur dans laquelle elle s’était enveloppée.
— Comment as-tu osé? Qui donc t’a permis de te conduire ainsi, avec une telle désinvolture, et d’avoir un orgasme sans y être autorisée?
Troublée par ce changement de ton aussi imprévisible que brutal elle se redressa presque d’un bond. Une soudaine tension dans ses seins la piqua mais elle n’en fit presque pas cas tant elle craignait que l’homme ne s’emporte. Penaude, elle l’interrogea plutôt.
— Mais, vous me l’avez demandé?
Intriguée cependant, elle porta les mains à son torse, et découvrit aussitôt que des anneaux paraient ses tétons durcis. Surprise par leur soudaine présence, elle les fit rouler quelques instants contre sa peau, totalement mystifiée par les talents de magicien de cet homme, incapable de comprendre comment il avait pu placer ces bijoux sans même qu’elle ne s’en aperçoive. C’est alors que son sang se glaça d’effroi quand, voulant s’en défaire, elle comprit avec horreur que loin d’être amovibles comme elle l’imaginait, ils étaient bien au contraire sertis profondément dans sa chair sensible.
D’un bond elle tenta aussitôt de se relever et de se rapprocher de la clarté de l’âtre pour s’en assurer, mais s’arrêta net lorsque le poids de l’or qui ceignait son clitoris, tira brutalement son petit bouton d’amour hors de sa cachette charnue. Machinalement, elle tenta d’apaiser cette douleur lancinante mais tandis que ses doigts s’écrasaient contre les parois lisses d’une coque métallique, elle chancela un instant avant de retomber lourdement sur ses genoux, abasourdie.
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