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Au bout d’un moment, qui lui parut être une éternité, elle entendit que l’on s’affairait près des battants de sa cabine. Clémence était décomposée, son souffle était court, elle sentait son cœur battre la chamade. Soudain, une des portes s’entrouvrit et une belle brunette aux cheveux courts d’une quarantaine d’années, strictement vêtue d’un tailleur sombre, s’imposa à elle immédiatement. Clémence, au bord de l’évanouissement, s’était recroquevillée sur elle-même, et toute penaude qu’elle était, n’osait affronter le regard de la gérante magasin qui semblait s’amuser de l’avoir surprise ainsi.
— Tes copines t’ont fait une vilaine farce ma belle !
Clémence avait le sentiment d’être une proie entre les griffes d’un carnassier, prête à être dévorée.
— N’aies pas peur, approche, montre-toi un peu.
Clémence déconfite, n’avait plus d’autre choix que de se laisser guider par la volonté de cette femme. Sans entrain elle se releva alors, mais tenta aussitôt de couvrir sa nudité.
— Mets tes mains sur ta nuque, bras et jambes écartés. Lui lança alors sèchement la femme sur un ton qui ne permettait pas la discussion.
Encore sous le choc, Clémence s’exécuta instantanément sans même protester. Toute penaude qu’elle était d’avoir été surprise ainsi, elle baissait la tête honteusement comme pour mieux fuir le regard de la vendeuse qu’elle n’osait croiser. Elle crut défaillir lorsqu’elle sentît ses mains douces qui, après s’être posées sur ses joues qu’elle sentait devenir écarlates, entamèrent une longue descente le long de son corps. Doucement, elle commença par ses seins s’attarda un instant sur ses tétons durcis puis descendit peu à peu vers ses hanches pour se perdre entre ses cuisses. Clémence était parcourue de frissons, jamais elle n’aurait imaginé se trouver dans une telle situation à la merci d’une inconnue dans un lieu ouvert au public.
Alors que les mains de la gérante parcouraient ses fesses, Clémence sentit avec effarement qu’elles s’attardaient maintenant entre ses jambes.
— Maintiens ta position jambes écartées, lui rappela-t-elle sèchement tandis qu’elle empoigna brutalement une touffe de l’abondante toison qui couvrait le haut de son pubis. La douleur la fit glousser mais elle s’exécuta aussitôt de peur de subir une nouvelle brimade. Elle sentit alors les doigts de cette femme parcourir les replis de son sexe humide qui malgré son appréhension semblait s’être gonflé. Après s’être attardés quelques instants sur son clitoris un, puis deux doigts forcèrent l’entrée de son intimité et commencèrent un léger mouvement de va-et-vient. D’un balancement de hanches presque imperceptible, Clémence tenta d’accompagner plus amplement ces envahisseurs, mais fut bien vite ramenée à la réalité par une vive tape sur les fesses.
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