Thund-Her-Struck

Pleine page

Dernière mise à jour le 15-01-2022 à 17:22 pm - Temps de lecture estimé 00:04:32

Une douce chaleur avait envahi tout son corps, et entre les mains adroites de cette femme, Clémence sentait l’humidité de son sexe perler maintenant entre ses cuisses. Plusieurs fois elle se serait laissé aller au plaisir qu’elle lui procurait, mais alors que son extase approchait, sa dominatrice cessait toute sollicitation, la laissant chaque fois un peu plus frustrée et pantelante de désir. Pourtant, Clémence n’avait de cesse que de rechercher cet état de transe lubrique, consumée par une soif que seule sa maîtresse semblait pouvoir étancher. Finalement, elle sentit son dernier rempart de modestie tomber lorsque sa jupette glissa lentement contre ses jambes, habilement dégrafée par la femme qui l’abandonna ainsi seule au milieu de la piste.

— Danse pour moi ma belle, lui ordonna-t-elle alors.

Dans sa brume extatique, Clémence ne prêtait plus guère d’attention à son entourage, et faisait onduler son corps au son de la musique techno. Vêtue de son seul harnachement, le cuir de sa laisse pendant contre son torse contrastait violemment avec les rondeurs de ses petits seins, particulièrement lorsque levant les bras en l’air, elle s’abandonnait totalement sur le rythme électronique.

— Caresse-toi maintenant, montre-moi comment tu aimes prendre du plaisir, lui intima-t-elle ensuite.

Submergée par la honte de devoir s’exposer ainsi mais toujours en rythme, d’une main, elle explora sa touffe humide, tandis qu’elle se titillait alternativement les tétons entre les doigts de son autre main. Après s’être longtemps retenue, elle finit par se cambrer et lâcher un long gémissement de plaisir masqué fort à propos par le volume de la musique.

Elle venait à peine de s’affaisser sur la banquette pour reprendre son souffle, que déjà elle pouvait sentir les mains de sa nouvelle maîtresse s’affairer entre ses cuisses qu’elle ouvrit largement, annihilant par là même toute tentative de résistance. D’une langue experte, la femme s’insinua lentement entre les plis de son sexe moite jusqu’à en découvrir le trésor qui s’y cachait. Par petites touches successives, elle titillait inexorablement son clitoris qui s’était durci et après l’avoir délicatement dégagé de son capuchon protecteur, elle entreprit méthodiquement de le taquiner, le sucer, le tortiller. De nouveau, Clémence se sentait balayée par des vagues de plaisir d’intensité toujours croissante. C’est alors que, sa maîtresse s’étant saisi de son petit bourgeon entre deux doigts, le pinça durement entre ses ongles. Immédiatement Clémence fut terrassée par la force de sa jouissance et dans un long râle où se mêlaient intimement douleur et plaisir, elle s’abandonna une nouvelle fois à demi inconsciente.

Quand elle reprit ses esprits, elle découvrit avec angoisse que ses poignets, verrouillés dans des manchettes de cuir, étaient maintenant fixés à son collier et qu’elle était désormais totalement à la merci de cette femme qui lui avait fait connaître l’extase d’une manière aussi troublante qu’inconnue.

— Tu as été une bien vilaine fille ce soir. Il va donc falloir que t’enseigne aussi quelques bonnes manières.

0 0 - Aucune étiquette pour cet article

Avant de quitter ce site

X

N'hésitez-pas à exprimer vos pensées, vos idées ou écrivez un excellent commentaire


Laisser un commentaire

Exprimez vos pensées, vos idées ou écrivez un excellent commentaire en cliquant ici.
Veuillez garder à l’esprit que les commentaires sont modérés selon notre politique de confidentialité.
Aussi, la phase de validation peut retarder l'affichage de votre réponse.

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée.

(*) Obligatoire

cinq + 13 =

© Copyright 2013–2025 - Tous droits réservés par Helen RIPLEY

Erreur !

ici