Avant-propos

Cette saga dont voici le premier tome, débutée il y a plusieurs années, n’a été tirée de son sommeil que par une âme curieuse qui a su me convaincre de poursuivre l’aventure.

D’abord considéré comme un simple amusement, puis un exercice de style, elle a su évoluer au fil du temps et au gré de mes humeurs pour être ce qu’elle est aujourd’hui.

Sans jamais cautionner les actes de violence sous quelque forme que ce soit, en se voulant être dans la lignée des œuvres du Marquis de Sade ou de Pauline Réage, elle se devait toutefois d’en reprendre les codes, parfois jusqu’à l’extrême.

Aussi, n’ayant la prétention d’être une nouvelle variation philosophique sur le thème de la soumission que d’autres avant-elle auraient déjà si bien traité, par le regard complice de son héroïne, cet épisode ne se considère que comme un conte libertin.

En ce sens, cette œuvre littéraire ne pourra prétendre un jour pouvoir entrer au panthéon que quand, comme ses illustres prédécesseurs, elle aura été à son tour victime des « bonnes mœurs ».

Erreur !

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